L'aluminium et les vaccins
1 • Les adjuvants aluminiques sont utilisés pour optimiser l’efficacité des vaccins non vivants depuis près de 90 ans, dans le monde entier, et présentent un profil de tolérance excellent.
2 • La quantité d’aluminium ingérée dans notre vie quotidienne est incomparablement plus importante que celle reçue par la vaccination tout au long de la vie.
3 • La Myofasciite à macrophages (MMF) n’est pas une maladie mais un « tatouage vaccinal ».
4 • Les travaux qui incriminent l’aluminium dans les vaccins proviennent essentiellement d’une seule équipe, française, dont les travaux n’ont été reconnus par aucune instance nationale ou internationale.
5 • Le niveau de qualité de ces travaux ne permet pas de conclure à la toxicité des adjuvants aluminiques, ce que confirme l’ensemble des rapports, français et internationaux, sur le sujet.
6 • La recherche portant sur de nouveaux adjuvants a pour finalité la découverte de nouveaux vaccins, pour lesquels les sels d’aluminium ne permettent pas toujours d’offrir l’efficacité attendue.
7 • Le phosphate de calcium n’est pas une alternative aux sels d’aluminium car ses résultats en termes de tolérance et d’efficacité étaient contradictoires.
8 • Si la recherche publique sur les adjuvants aluminiques doit se poursuivre, alors c’est une équipe indépendante qui devra mener ces travaux.