Contre les virus sans frontières, une seule réponse : l’union sans frontières des chercheurs, des autorités sanitaires et des industriels
Aujourd’hui, la moitié de la population mondiale vit en ville contre 10% en 1900 et 30% en 1950. Comme le constate Patrick Errard, président du Leem à l’occasion d’un point presse : "cette urbanisation galopante, conjuguée aux changements climatiques en cours, au développement des échanges et aux effets de la pollution et de la déforestation, modifient la dynamique homme-maladie, ainsi que le montre l’émergence du virus Ebola, jusqu’alors confiné à quelques zones, et sa propagation meurtrière".